Ça y est, notre retour dans le sud approche tout comme la fin de nos stages respectifs. Vient le temps de la nostalgie et de la frustration de ne pas avoir vu passer ces six mois. C'est fou ce que le temps passe vite quand on est bien dans un endroit! Les publications seront sûrement de plus en plus espacées jusqu'au grand départ pour l'Australie prévu début novembre. Mais pas de panique, il nous reste encore quelques petits coups de cœur à publier.
Dans la lancée de notre quête de bons plans, on vous partage aujourd'hui nos dernières petites soirées d'Afterwork sur les péniches parisiennes. Un peu compliqué de trouver le bon moment pour y aller, car qui dit péniche, demande du soleil ! Ce qui n'est pas une mince affaire ces temps-ci. Sur les longs quais interminables de la capitale, on peut dire qu'on a plutôt le choix des lieux pour aller se détendre après le travail et casser la routine du métro-boulot-dodo. On vous laisse regarder les photos de nos deux petits coups de cœur Le Petit Bain, et Le Willow ! Finalement, pas besoin d'aller dans les Landes pour avoir de beaux couchers de soleil.. on a tout ici !
Dans la lancée de notre quête de bons plans, on vous partage aujourd'hui nos dernières petites soirées d'Afterwork sur les péniches parisiennes. Un peu compliqué de trouver le bon moment pour y aller, car qui dit péniche, demande du soleil ! Ce qui n'est pas une mince affaire ces temps-ci. Sur les longs quais interminables de la capitale, on peut dire qu'on a plutôt le choix des lieux pour aller se détendre après le travail et casser la routine du métro-boulot-dodo. On vous laisse regarder les photos de nos deux petits coups de cœur Le Petit Bain, et Le Willow ! Finalement, pas besoin d'aller dans les Landes pour avoir de beaux couchers de soleil.. on a tout ici !
Le Willow :
Et pour ceux qui se demandent comment on a fait pour rester à Paris tout l'été et qui pensent qu'on l'a mal vécu, on vous répondra que :
1. On a pas eu le choix.
2. C'était la meilleure période.
3. «Les gens s’étonnent toujours que vous ne
quittiez pas Paris l’été, sans comprendre que c’est précisément parce
qu’ils le quittent que vous y restez. » Henry de Montherlant
Les Filles.